Clarisse Agbénégnénou, double championne olympique de judo, ancien bébé prématuré et marraine de SOS Préma,
lance la chaîne de solidarité Pampers pour SOS Préma, pour un meilleur accompagnement des bébés prématurés et de leurs parents.
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Née deux mois avant terme, aux côtés de son frère jumeau, Clarisse Agbégnénou a passé les premières semaines de sa vie en couveuse, avant de subir une opération d’un rein et de tomber dans le coma pendant plusieurs jours. Une épreuve qu’elle a su transformer en force, pour devenir la judokate française la plus titrée de l’histoire.
« Quand ma mère m’a raconté ma naissance, elle m’a dit que lors de ma première grande inspiration, tous ceux qui étaient présents dans la chambre avaient applaudi et que le médecin avait dit que j’étais une battante. Mais c’est l’amour de mes parents qui m’a portée toute ma vie. Aujourd’hui, je suis fière de porter ce combat auprès de Pampers en faveur de SOS Préma, pour que tous les parents puissent rester aux côtés de leurs petits battants afin de leur insuffler l’amour et la force nécessaire pour avancer ! » raconte Clarisse Agbégnénou.
Cette chaîne de solidarité a pour objectif de soutenir le #ZeroSéparation prôné par SOS Préma dans la Charte du Nouveau-né hospitalisé.
Les dons permettront de financer des projets pour adapter les conditions d’accueil des parents dans les unités de néonatologie, mieux intégrer les parents dans les soins de développement de leur bébé prématuré, et ainsi favoriser le lien d’attachement parent/enfant.
Parmi les projets à financer : des fauteuils de transfert en peau à peau, des fauteuils-lits accompagnants pour que les parents puissent rester dormir auprès de leur bébé, des fauteuils ou des coussins d’allaitement afin de permettre aux mamans afin d’allaiter confortablement.
SOS Préma remercie du fond du coeur Clarisse Agbégnénou (sa marraine), Pampers (son partenaire historique depuis sa création en 2004) et tous les donateurs qui rejoindront cette chaine de solidarité pour que les bébés prématurés et les nouveau-nés hospitalisés ne soient plus séparés de leurs parents.